Résumé
Les “murs végétalisés”permettent, avec une très faible emprise au sol, de renforcer la végétalisation des milieux urbains. Cette recherche interroge les modalités d’acceptabilités écologiques, techniques et sociales d’implantation spontanée du vivant sur les façades des bâtiments. L’enjeu est de mettre à jour les modalités d’une valorisation positive du bâtiment par une végétalisation verticale spontanée du bâti habituellement synonyme de dégradation voire de ruine.