Résumé
Dans un contexte d’hyper modernité saturé de valeurs esthétiques, face aux nouveaux enjeux écologiques et politiques du paysage, dans un monde où le rapport à l’espace est bouleversé par le développement d’outils perceptifs en pleine expansion, ce travail de thèse vise à s’interroger sur les facteurs qui permettent d’opérer les choix à l’origine de la fabrication de paysage.Le but de cette étude est de comprendre comment la démultiplication des modèles paysagers se manifeste dans les choix esthétiques des pratiques paysagistes.