La difficile patrimonialisation de l’architecture collective moderne : réflexion sur l’héritage et le devenir des oeuvres emblématiques de l’après-guerre

Directeur de la thèse : Yankel Fijalkow
Co-directeur : F. Gruson
École doctorale : ED 395, Paris Ouest Nanterre, La Défense
Année d’Inscription : 2015
Financement : CIFRE

Résumé

Ce projet de thèse s’attache aux bâtiments collectifs d’après-guerre, sortis de terre dans un contexte de crise du logement, les plus grands noms de l’architecture ont signé certains de ces projets. Aujourd’hui, cette architecture a vieilli, se dégrade et est stigmatisée. Entre risques de démolition et réhabilitations invasives, ces bâtiments sont en sursis. Les mesures de protection restent encore rares et inadaptées. En s’interrogeant sur ces difficultés, cette thèse se propose d’étudier plusieurs sites franciliens réalisés par l’AUA (Atelier d’Urbanisme et d’architecture) en Ile-de-France, dans lequel les questions de patrimonialisation, de réhabilitation et de démolition sont posées.