À la une des axes de recherches
Axe 1
Fabrications de l’urbain
Axe 2
Justice et inégalités
Axe 3
Temporalités et usages du temps dans la fabrique urbaine
Axe 4
Injonctions politiques et pratiques alternatives
Axe 5
Interfaces : métropolisations et dynamiques rurales
Axe 1 Fabrications de l’urbain
(dir.)
Parution « De l’(in-)hospitalité des lieux urbains pour les enfants »
De MONNET Nadja, Strenae nº23, mis en ligne le 02 février 2024
Parution « Les « espaces intérieurs » des générations digitales »
in : I. Forino, A. Lefebvre , A. Markovics, A. Viati Navone (eds). Les intérieurs aujourd’hui. Analyses, projets, usages. Villeneuve-d’Ascq : Presses universitaires du Septentrion, 2024, pp. 217-232. ISBN 978-2-7574-4011-7.
FAIRE la ville productive
30 propositions inventives pour repenser les zones d’activités économiques
(dir.), (dir.)
Appel à article « Habitat : les micros-espaces de la santé »
sous la direction de Yankel Fijalkow et Yaneira Wilson (CRH LAVUE - UMR CNRS 7218)
Axe 2 Justice et inégalités
Journée d’échange et de solidarité avec le Soudan vendredi 12 avril 2024
SCIENCES SOCIALES, ARTS ET ENGAGEMENT
,
Experiencing the landscape : landscape agency in a multifunctional valley after dam removal on the Sélune River, France
Publication d’un article dans la revue Ecology and Society
(dir.)
Enjeux actuels du discours identitaire. Perspectives africaines
Lieux et Enjeux #3 (2023/2024) – 08 mars 2024
Séminaire 13 février 2024 « L’artisan comme musulman intégré à la nation. Rapport au savoir-faire et tensions identitaires dans l’Inde contemporaine »
Séminaire « Anthropologie comparative des sociétés et cultures musulmanes » (LAS) par Arnaud Kaba (ALTER)
Axe 3 Temporalités et usages du temps dans la fabrique urbaine
Journées d’études itinérantes et internationales « Marseille, ville-laboratoire d’anthropologie urbaine ? »
Organisées par le laboratoire INAMA (ensa•m), l’association AnthropoVilles et avec le soutien du LAVUE
Parution : « Chemins des possibles : marcher dans et au-delà d’une cité »
Par Nadja Monnet (LAA) et Elsa Menad, Dans « Quelle infrastructure pour la marche en ville ? » n°143, revue Transports urbains
3e Journée d’étude « Patrimoines Minoritaires »
Matrimoines et patrimonialisations expérimentales de la « nature » en ville
Séminaires Axe 3 2022-2023
Temporalités et usages du temps dans la fabrique urbaine
Axe 4 Injonctions politiques et pratiques alternatives
Au foyer du réchauffement climatique Comment (re)faire cité à l’ombre des vulnérabilités ?
Atelier « Habiter la transition » (réseau ACDD)
Chantier « pratiques d’émancipation »
Programme année 2024
Habiter en copropriété peut-il etre emancipateur ?
Jérôme Boissonade & Claire Carriou
(dir.)
Parution : « Ciudades, infancias y juegos »
Coordiné par Nadja Monnet (LAA) , Revue Crítica Urbana.
Atelier thématique le 14 mars 2024 : « Habiter la transition. Des pratiques existantes aux politiques de transition : circulations et ambiguïtés »
Atelier thématique commun aux réseaux ACDD et ReHaL. Avec le soutien de l’IRCAV et en partenariat avec la Fondation de l’Écologie Politique
Axe 5 Interfaces : métropolisations et dynamiques rurales
Séminaire Nouvelles ruralités 2023-24
Master NOURAD – UMR LAVUE, axe 5 : INTERFACES : MÉTROPOLISATIONS ET DYNAMIQUES RURALES
(dir.),
Abitare lo spopolamento/Habiter le dépeuplement
Doctorat : Avis de soutenance de thèse de doctorat
Séminaire de l’axe 5 « Le plateau de Saclay : competition entre usages, ou nouvelles synergies entre ville et agriculture ? »
Le 13 novembre, 9h30-16h30, en collaboration avec le master Nouvelles ruralités, agriculture et développement local (NOURAD) de l’université de Paris Nanterre
Soutenance de thèse d’Alioune Dabo
« Agricultures et agriculteurs en Ceinture verte de Paris : entre stratégies paysannes et politiques publiques agricoles »
À noter
Actualités de l’association AnthropoVilles
Publications
> Ouvrages scientifiques
Journée d’études organisée par le département de sociologie et d’anthropologie de Paris 8
Activités
> Journées d’études
Journal
Une Vue du LAVUE
#16
Juin 2023
Dernières soutenances
Thèse réalisée sous la direction de Marie-Hélène Bacqué (MOSAIQUES-LAVUE) et Ismael Blanco (IGOP-UAB).
Thèse réalisée sous la direction de Manola Antonioli, Professeure (HDR), ENSAPLV
Thèse réalisée sous la direction de Alessia de Biase Professeure, LAA-LAVUE ENSAPLV et de Maria Chiara Tosi, Professeure à l’Università IUAV di Venezia (IT)
mercredi 2 juin
Soutenance d’HDR de Ioana Iosa « L’engouement pour le patrimoine : raisons, formes, imaginaires »
Le jury est composé de :
Alessia de Biase, architecte et anthropologue urbaine, professeure à l’ENSA Paris La Villette, référente
Viviane Claude, architecte et urbaniste, professeure retraitée de l’Institut d’urbanisme de Lyon, examinatrice
Marie Cornu, juriste, directrice de recherche au Centre national de la recherche scientifique, examinatrice
Maria Gravari-Barbas, architecte et géographe, professeure à l’Université Paris 1 Panthéon- Sorbonne, rapporteure
Gilles Pinson, politologue, professeur à Sciences Po Bordeaux, rapporteur
Vincent Veschambre, géographe, conservateur en chef du patrimoine au ministère de la Culture, examinateur
Cette recherche révèle ce qui se cache derrière l’expression d’engouement pour le patrimoine, dont les médias se font volontiers l’écho de nos jours. Cette notion floue et récurrente, mérite en effet d’être questionnée afin de comprendre qui sont ceux dont on attend qu’ils se mobilisent et s’émeuvent pour la cause patrimoniale, mais aussi qui sont les artisans de cet engouement, ceux qui orchestrent et qui attirent l’attention publique sur les causes. L’appétence pour le patrimoine est-elle au rendez-vous, ou bien s’agit-il d’une supposition difficile à quantifier ? Est-elle ciblée ou bien s’agit-il plutôt d’une ouverture, d’une sensibilité qui ne fait pas de différence entre les causes ? Quel lien de cause à effet avec l’imaginaire et les narrations qui accompagnent l’objet et l’engouement ? Et quel rôle joue dans cette appétence la mobilisation et la mise en lumière de l’émotion patrimoniale, dont les recherches (Rautenberg, 2003 ; Heinich, 2009 ; Fabre, 2013) signalent depuis une dizaine d’années la montée en puissance ?
Pour répondre à toutes ces questions, un travail empirique a été engagé auprès de plusieurs « faiseurs de patrimoine » qui se distinguent par leur dynamisme : les propriétaires du château de Meauce, dans la Nièvre, et les initiateurs et gestionnaires de trois achats collectifs de châteaux en ruine (à la Mothe Chandeniers, dans la Vienne en 2017, à l’Ebaupinay dans les Deux-Sèvres en 2018 et à Vibrac en Charente-Maritime en 2019). Ce travail empirique à partir de quatre terrains a été complété par l’analyse des conférences proposées par les organisateurs du Salon international du patrimoine culturel, éditions 2019 et 2020, ainsi que par l’observation participante du chantier de bénévoles du château de Meauce, édition 2019. A cela s’ajoutent des visites réalisées pendant l’été 2020 de sites d’exception comme Guédelon et Saint Fargeau, ainsi qu’un suivi constant du dispositif du Loto du patrimoine, éditions 2018 et 2019.
Alessia de Biase, architecte et anthropologue urbaine, professeure à l’ENSA Paris La Villette, référente
Viviane Claude, architecte et urbaniste, professeure retraitée de l’Institut d’urbanisme de Lyon, examinatrice
Marie Cornu, juriste, directrice de recherche au Centre national de la recherche scientifique, examinatrice
Maria Gravari-Barbas, architecte et géographe, professeure à l’Université Paris 1 Panthéon- Sorbonne, rapporteure
Gilles Pinson, politologue, professeur à Sciences Po Bordeaux, rapporteur
Vincent Veschambre, géographe, conservateur en chef du patrimoine au ministère de la Culture, examinateur
Cette recherche révèle ce qui se cache derrière l’expression d’engouement pour le patrimoine, dont les médias se font volontiers l’écho de nos jours. Cette notion floue et récurrente, mérite en effet d’être questionnée afin de comprendre qui sont ceux dont on attend qu’ils se mobilisent et s’émeuvent pour la cause patrimoniale, mais aussi qui sont les artisans de cet engouement, ceux qui orchestrent et qui attirent l’attention publique sur les causes. L’appétence pour le patrimoine est-elle au rendez-vous, ou bien s’agit-il d’une supposition difficile à quantifier ? Est-elle ciblée ou bien s’agit-il plutôt d’une ouverture, d’une sensibilité qui ne fait pas de différence entre les causes ? Quel lien de cause à effet avec l’imaginaire et les narrations qui accompagnent l’objet et l’engouement ? Et quel rôle joue dans cette appétence la mobilisation et la mise en lumière de l’émotion patrimoniale, dont les recherches (Rautenberg, 2003 ; Heinich, 2009 ; Fabre, 2013) signalent depuis une dizaine d’années la montée en puissance ?
Pour répondre à toutes ces questions, un travail empirique a été engagé auprès de plusieurs « faiseurs de patrimoine » qui se distinguent par leur dynamisme : les propriétaires du château de Meauce, dans la Nièvre, et les initiateurs et gestionnaires de trois achats collectifs de châteaux en ruine (à la Mothe Chandeniers, dans la Vienne en 2017, à l’Ebaupinay dans les Deux-Sèvres en 2018 et à Vibrac en Charente-Maritime en 2019). Ce travail empirique à partir de quatre terrains a été complété par l’analyse des conférences proposées par les organisateurs du Salon international du patrimoine culturel, éditions 2019 et 2020, ainsi que par l’observation participante du chantier de bénévoles du château de Meauce, édition 2019. A cela s’ajoutent des visites réalisées pendant l’été 2020 de sites d’exception comme Guédelon et Saint Fargeau, ainsi qu’un suivi constant du dispositif du Loto du patrimoine, éditions 2018 et 2019.
Lieu : En ligne sur inscription
Adresse : Pour obtenir le lien, merci d’écrire à ioanaliana.iosa@paris-lavillette.archi.fr
Horaire : 14h30-18h