À la une des axes de recherches
Axe 1
Fabrications de l’urbain
Axe 2
Justice et inégalités
Axe 3
Temporalités et usages du temps dans la fabrique urbaine
Axe 4
Injonctions politiques et pratiques alternatives
Axe 5
Interfaces : métropolisations et dynamiques rurales
Axe 1 Fabrications de l’urbain
journée d’étude OUTPOST le 26 avril 2024 « Artistes en résidence dans les avant-postes de la science : récits autorisés et alternatives »
École Nationale Supérieure d’Architecture Paris-Val de Seine, Laboratoire CRH
Appel à article « Donner à voir et à penser l’habiter face aux catastrophes écologiques et sociales »
La Revue Française des Méthodes Visuelles lance un appel à articles pour son numéro 8
(dir.)
Parution « De l’(in-)hospitalité des lieux urbains pour les enfants »
De MONNET Nadja, Strenae nº23, mis en ligne le 02 février 2024
Parution « Les « espaces intérieurs » des générations digitales »
in : I. Forino, A. Lefebvre , A. Markovics, A. Viati Navone (eds). Les intérieurs aujourd’hui. Analyses, projets, usages. Villeneuve-d’Ascq : Presses universitaires du Septentrion, 2024, pp. 217-232. ISBN 978-2-7574-4011-7.
Axe 2 Justice et inégalités
« Compétences et participation habitantes. Un dialogue France, Maghreb & Machrek »
Lieux et Enjeux #4 (2023/2024) – 26 avril 2024
Journée d’échange et de solidarité avec le Soudan vendredi 12 avril 2024
SCIENCES SOCIALES, ARTS ET ENGAGEMENT
,
Experiencing the landscape : landscape agency in a multifunctional valley after dam removal on the Sélune River, France
Publication d’un article dans la revue Ecology and Society
(dir.)
Enjeux actuels du discours identitaire. Perspectives africaines
Lieux et Enjeux #3 (2023/2024) – 08 mars 2024
Axe 3 Temporalités et usages du temps dans la fabrique urbaine
Journées d’études itinérantes et internationales « Marseille, ville-laboratoire d’anthropologie urbaine ? »
Organisées par le laboratoire INAMA (ensa•m), l’association AnthropoVilles et avec le soutien du LAVUE
Parution : « Chemins des possibles : marcher dans et au-delà d’une cité »
Par Nadja Monnet (LAA) et Elsa Menad, Dans « Quelle infrastructure pour la marche en ville ? » n°143, revue Transports urbains
3e Journée d’étude « Patrimoines Minoritaires »
Matrimoines et patrimonialisations expérimentales de la « nature » en ville
Séminaires Axe 3 2022-2023
Temporalités et usages du temps dans la fabrique urbaine
Axe 4 Injonctions politiques et pratiques alternatives
Au foyer du réchauffement climatique Comment (re)faire cité à l’ombre des vulnérabilités ?
Atelier « Habiter la transition » (réseau ACDD)
Chantier « pratiques d’émancipation »
Programme année 2024
Habiter en copropriété peut-il etre emancipateur ?
Jérôme Boissonade & Claire Carriou
(dir.)
Parution : « Ciudades, infancias y juegos »
Coordiné par Nadja Monnet (LAA) , Revue Crítica Urbana.
Atelier thématique le 14 mars 2024 : « Habiter la transition. Des pratiques existantes aux politiques de transition : circulations et ambiguïtés »
Atelier thématique commun aux réseaux ACDD et ReHaL. Avec le soutien de l’IRCAV et en partenariat avec la Fondation de l’Écologie Politique
Axe 5 Interfaces : métropolisations et dynamiques rurales
Séminaire Nouvelles ruralités 2023-24
Master NOURAD – UMR LAVUE, axe 5 : INTERFACES : MÉTROPOLISATIONS ET DYNAMIQUES RURALES
(dir.),
Abitare lo spopolamento/Habiter le dépeuplement
Doctorat : Avis de soutenance de thèse de doctorat
Séminaire de l’axe 5 « Le plateau de Saclay : competition entre usages, ou nouvelles synergies entre ville et agriculture ? »
Le 13 novembre, 9h30-16h30, en collaboration avec le master Nouvelles ruralités, agriculture et développement local (NOURAD) de l’université de Paris Nanterre
Soutenance de thèse d’Alioune Dabo
« Agricultures et agriculteurs en Ceinture verte de Paris : entre stratégies paysannes et politiques publiques agricoles »
À noter
La Revue Française des Méthodes Visuelles lance un appel à articles pour son numéro 8
Activités
> Articles dans des revues scientifiques à comité de lecture
Journal
Une Vue du LAVUE
#16
Juin 2023
Dernières soutenances
Thèse réalisée sous la direction de Marie-Hélène Bacqué (MOSAIQUES-LAVUE) et Ismael Blanco (IGOP-UAB).
Thèse réalisée sous la direction de Manola Antonioli, Professeure (HDR), ENSAPLV
Thèse réalisée sous la direction de Alessia de Biase Professeure, LAA-LAVUE ENSAPLV et de Maria Chiara Tosi, Professeure à l’Università IUAV di Venezia (IT)
vendredi 23 octobre
Soutenance de la thèse de doctorat de Gaële Rouillé-Kielo « Traduction du concept de Paiements pour Services Hydriques, politiques de l’eau et processus de territorialisation au Kenya »
Cette thèses a été réalisée sous la direction de David Blanchon.
Cette thèse questionne les vecteurs et les effets de l’adoption d’un concept « à la mode » dans les politiques de conservation de l’eau, celui de « Paiements pour Services Hydriques » (PSH). Elle adopte un positionnement multiscalaire et orienté vers les acteurs en cherchant à retracer les étapes allant de l’élaboration du concept de PSH dans des arènes scientifiques internationales à sa mise en œuvre sous la forme de projets localement. Elle s’organise autour de l’hypothèse de la production d’un territoire hydro-social construit autour de la notion de « service hydrique » entre usagers de l’amont et de l’aval d’un bassin-versant. L’enquête, principalement qualitative, se penche sur un cas d’étude, la région de Naivasha, où le premier projet de PSH actif du Kenya a été mis en œuvre. Elle combine une approche par la « traduction » et la mobilisation de concepts critiques de la political ecology. La thèse montre que l’adoption des PSH correspond à une période de transformation de la configuration conservationniste locale, notamment liée aux réorientations récentes des politiques de conservation de l’eau au Kenya. La problématisation du projet conduit à une focalisation nouvelle sur l’enjeu érosif et à une nouvelle distribution des rôles. Les discours autour du « succès » du projet cachent néanmoins les principaux bénéfices qu’en retirent les acteurs agricoles « enrôlés » comme « acheteurs » ou comme « vendeurs » de services hydriques. Dans la zone d’intervention du projet, la territorialisation associée aux PSH doit être relativisée, à la fois par le niveau de contrôle exercé et au regard de la transformation de la relation des individus à l’espace.
Cette thèse questionne les vecteurs et les effets de l’adoption d’un concept « à la mode » dans les politiques de conservation de l’eau, celui de « Paiements pour Services Hydriques » (PSH). Elle adopte un positionnement multiscalaire et orienté vers les acteurs en cherchant à retracer les étapes allant de l’élaboration du concept de PSH dans des arènes scientifiques internationales à sa mise en œuvre sous la forme de projets localement. Elle s’organise autour de l’hypothèse de la production d’un territoire hydro-social construit autour de la notion de « service hydrique » entre usagers de l’amont et de l’aval d’un bassin-versant. L’enquête, principalement qualitative, se penche sur un cas d’étude, la région de Naivasha, où le premier projet de PSH actif du Kenya a été mis en œuvre. Elle combine une approche par la « traduction » et la mobilisation de concepts critiques de la political ecology. La thèse montre que l’adoption des PSH correspond à une période de transformation de la configuration conservationniste locale, notamment liée aux réorientations récentes des politiques de conservation de l’eau au Kenya. La problématisation du projet conduit à une focalisation nouvelle sur l’enjeu érosif et à une nouvelle distribution des rôles. Les discours autour du « succès » du projet cachent néanmoins les principaux bénéfices qu’en retirent les acteurs agricoles « enrôlés » comme « acheteurs » ou comme « vendeurs » de services hydriques. Dans la zone d’intervention du projet, la territorialisation associée aux PSH doit être relativisée, à la fois par le niveau de contrôle exercé et au regard de la transformation de la relation des individus à l’espace.
Lieu : Université Paris Ouest Nanterre La Défense et en visioconférence
Adresse : 200, avenue de la République, 92001 Nanterre - pour suivre l’événement à distance : rouille.gaele@gmail.com
Horaire : 14h-18h